Ce projet n’aurait pas pu voir le jour sans les mécènes ayant généreusement financé le projet via la plateforme KissKissBankBank. Il s’agit de ma famille, mes amis, voisins, collègues, les militants associatifs et ceux qui sont soucieux de préserver un héritage qui souvent s’oublie : edouard jacob, kids-yj, m-y, hiyon yoo, gilles et françoise jacob, mlaurence huyghe, electre balafas, nadine antoine, audrey bonnafi, romain zamperetti, claude hanot, ludi.08, sabbani, maxime waczecka, cécile millot, didier soufflet, alouette, helene hammes, gilles marechal, rémy-thumelin, davidr, emmanuelle lemoine, arnaud sauzeat & hagenbach

Au cours de mes recherches préparatoires, j’ai été beaucoup encouragé par l’équipe du Musée de la ville de Saint Quentin en Yvelines, en particulier Frederic Debussche (directeur), Isabelle Gourmelin (documentaliste) et Daniel Huchon (photothécaire). Daniel a été un appui essentiel pour identifier les photos du jeu disparu dans l’immense fond photographique du musée de la ville. Les témoignages de Daniel Simon (ayant participé à l’aventure du Group Ludic), de Gilles Maréchal et de Fanny Bonnefoy m’ont permis de mieux appréhender la place du jeu disparu dans la mémoire des habitants, jeune parent ou enfants à l’époque. Les échanges avec Grégoire Romefort et Julien Donada des éditions Facteur Humain m’ont permis de prendre connaissance avant parution d’une partie des entretiens avec le Group Ludic que j’ai pu compléter directement auprès de Xavier de la Salle et David Roditi. Gabriela Burkhalter a une excellente connaissance des travaux du Group Ludic et elle a bien voulu me partager certaines photos de leurs autres réalisations, photos extraites des archives de Xavier de la Salle maintenant conservées au Kunsthalle de Zürich. Marie Lavault du service Culture de la ville d’Elancourt a été la première a m’ouvrir une possibilité d’exposition, cette impulsion a été décisive pour lancer véritablement le projet.

En vue de l’exposition, j’ai été amené à réunir différents documents et objets en lien avec la période d’existence des bulles. Je remercie Brigitte de Sainte Foy et Marie Laurence Huygues pour les objets personnels qu’elles ont bien voulu me prêter pour l’exposition. Les acteurs du marché de l’occasion ont été une ressource précieuse également, à travers les sites de vente en ligne (leboncoin, delcampe, abebooks, ebay) mais aussi, localement, les communautés Emmaus de Trappes et Bougival, la Ressourcerie du Perray en Yvelines, la librairie le mille feuilles de Trappes sans oublier les nombreux points de dépôts de livres. Un merci tout particulier à « Marcelle » (dépôt de livres Auchan Pariwest) pour avoir conservé si longtemps et si soigneusement les cahiers tricot-crochet de Modes et Travaux (1972 à 1981). Je n’aurais pas trouvé de meilleure ressource pour illustrer la mode enfant sur cette décennie.

Je termine ces remerciements avec une pensée pour Simon Koszel (Group Ludic) et Joël Unal (constructeur de maisons bulles) qui nous ont tous deux quitté en 2018